f o r e s t • w o r l d - the renaissance
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« Quatre clans, une guerre. Mais une menace bien plus grande plane sur la forêt... »
 
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Fléau & Vagabonde †

Guerrier • one day I will go to war
Fléau & Vagabonde †

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MessageSujet: Titre ;P   Titre ;P Icon_minitimeVen 1 Oct - 22:27

Titre ?
« privé, Illusion Mortelle »

La pluie.. De fines gouttes humides tombaient en multitude sur les feuilles des arbres, sur les pétales des fleurs, sur la pierre des rochers.. Le doux clapotis de la pluie au dehors berçait les chats qui dormaient encore. Un souffle chaud s'engouffra à l'intérieur de la tanière des Guerriers du Clan de l'Ombre. Un éclair illumina violemment l'antre sombre, suivit d'un roulement sourd. Cela suffit à me faire ouvrir les yeux. Autour de moi, tout était calme. On n'entendait que les bruits de respiration, et le roulement régulier de l'orage qui grondait.
Que c'était dur d'être tirée ainsi de son sommeil. Je me levai et étirai mes membres longuement. Je senti une goutte de sueur brulante glisser le long de mon échine, provoquant en moi un profond frisson. Je renonçai à faire une toilette approfondie et donnai un simple coup de langue sur ma fourrure soyeuse. La pluie me laverait, sur le chemin.
Alors, je sorti de la tanière, laissant derrière moi ma couche encore chaude, où résidait la trace de mon corps endormi. Je glissai sans un bruit sur le sol terreux, abandonnant mes collègues du Clan. J'étais bien ici. Personne ne me parlai, ou juste lorsque c'était indispensable. Personne ne cherchait à percer mes mystères, découvrir mes secrets. Personne que je pourrai décevoir. A vrai dire, je pouvais partir quand je le désirai. Je ne manquerai à personne, et personne ne me manquerai.

Sur ces bonnes réflexions, je sorti du camp, plus ou moins sereine. Pourtant, j'avais besoin de me défouler. Un instinct brulait en moi que je ne pouvais contrôler. L'instinct de mort.. L'instinct de tuer. Il fallait que je trouve un souffre-douleur, ou bien une occupation.
De mes yeux rougis par mon impulsion sauvage, je scrutai l'horizon. Non loin d'ici se trouvait la frontière avec le Clan de la Rivière. Non, ces chats avaient une odeur trop désagréable ! Avait-on idée de sentir le poisson pourri tout le temps ? Mon odeur, au moins, se mêlait à mon environnement : une odeur de mousse humide et ambrée. Ces chats n'étaient pas assez dignes de ma cruauté. Du moins, aujourd'hui. L'autre frontière du Clan de l'Ombre était celle avec le Clan du Vent. Elle était plus loin, mais ce serait des victimes de meilleure qualité, c'était sur ! Ces chats étaient loyaux, rapides, agiles ! Moi, j'étais belle, rusée et sauvage... Cruellement sauvage !

Bon, ce n'était pas tout, mais j'allais vraiment sentir le chat mouillé si je restai comme ça sous la pluie à attendre et j'aillais finir par attraper mal. En plus, ce n'était pas la porte à coté. Je me mis en marche d'un pas rapide et agile. Je me fondai presque totalement avec mon environnement, malgré la couleur de mon pelage. Je sentais les gouttes se frayer un chemin à travers ma fourrure épaisse, glissant sur mes poils longs. Je me senti lavée, mais la haine et la colère restaient, assez présentes pour garder l'envie de sang.

Un grand arbre se dressa soudain à mes cotés. C'était un chêne majestueux qui me toisait de toute sa hauteur. Il me défie !! J'accélérai le pas, courant à toute allure et me jetai avec force sur le tronc centenaire avec un hurlement rauque qui résonna dans la forêt silencieuse, couvrant presque le roulement du tonnerre. La pluie se fit plus dense, plus chaude. C'était écrasant. Le jour n'était pas encore totalement levé et il faisait sombre lorsque je rentrai dans le bois mystérieux. L'atmosphère était étouffante. Il faisait pratiquement nuit sous le couvert des arbres. Seuls quelques éclairs illuminaient cette ambiance sombre.

Au bout de quelques minutes, je sorti enfin du bois. Je ralenti l'allure. La pluie s'était quelque peu calmée et les nuages commençaient à s'en aller. Bientôt, il ne resterait plus qu'un ciel lessivé par l'intempérie et surement, de beaux rayons de soleil pour la journée. J'étais un peu déçue car j'aimais la pluie. Je me sentais revigorée. C'est pour cela que je profitai des derniers moments d'orage, en apercevant les marais. Aïe, j'allais devoir les contourner. Pas question de traverser et de mettre plein de boue sur mes pattes souples !
Patiente, je voyais le moment de ma délivrance approcher de plus en plus. Je fis le tour, gardant ma sauvagerie grondante au fond de moi. Enfin, j'aperçus la frontière.

Ouf, dans quelques instants.. Plus que quelques instants ! Mais un frisson de plaisir remonta mon corps fin lorsque mon nez sentit l'odeur herbeuse des chats du Clan du vent. Mmmh.. Ça sentait tellement bon.. Justement, un individu s'approchait. Il était dans le sens du vent et j’en conclu qu’il serait là dans.. quelques minutes à peine ! Vite. Repérant un buisson, je m'y précipitai et me cachait sans bruit, tapie, prête à bondir. Je le vis apparaitre, passant derrière un arbre. Il traquait un petit oiseau noir qui picorait calmement. Je n'avais pas dépassé notre frontière et lui non plus, pas encore. Soudain, il bondit sur l'oiseau, se trouvant alors sur mon territoire !
Sans hésiter, je bondis également, sur lui, avec un hurlement grave. Déconcentré, il rata sa prise qui s'envola le plus vite que ses ailes sombres lui en donnaient la possibilité. Oui, oui, je venais de lui sauver la vie ! De toute façon, j'allais me rattraper au retour, je chasserai un peu, pour le clan.
Le chat en dessous de moi avait un pelage blanc, mais pas aussi éclatant que le mien. Ce blanc était un peu.. poussiéreux.
Ma victime miaula de douleur lorsque mes griffes acérées s'enfoncèrent dans sa peau. D'un coup de hanche, il m'envoya rouler à quelques longueurs de queue. Vivement, je me relevai, prête à retourner à l'attaque. Le pauvre n'était pas bien gros. Encore un chaton ! Surement apprenti depuis peu ! Je n'allais en faire qu'une bouchée.
Je sentais, j'entendais son petit cœur fragile battre plus fort. Son souffle saccadé. Il n'était pas bien rassuré. J'avais sous ma langue la sensation douce et rassurante de sentir son sang chaud qui coulerait bientôt. Sans plus hésiter, je feintai à gauche et attaqua sur la droite. Bien sur, il tomba dans le piège et je plantai mes dents dans son flan. Quelques gouttes jaillirent de la plaie, ainsi qu’un cri de sa gueule. Mes papilles frémissaient.

Alors, je vis son regard bleu, moitié effrayé et dont les pupilles étaient dilatées de douleur, se poser derrière moi. Et, sans que je comprenne ce qui m'arrivait, je senti des griffes s'enfoncer dans mon propre dos. Je me levai sur mes pattes, cambrée, et feulai de douleur.
Je venais de me faire prendre par derrière, déconcentrée par le gout du sang, je n'avais pas senti la présence d'un autre membre du Vent arriver. Je me débâti et mon adversaire tomba au sol avant de se relever promptement. La femelle qui se trouvait alors devant moi avait un pelage noir comme le charbon et son regard était très particulier : un œil bleu et un œil gris. Comme envoutée par son regard, j'en oubliai l'apprenti qui se jeta avec rapidité sur ma patte arrière droite, ses crocs pointus s'enfonçant dans ma chair. Un miaulement m'échappa tandis que je secouai violemment ma patte pour faire lâcher le fauve.
En quelques minutes, je m'étais retrouvée de l'autre coté. Je devenais la victime. Alors que j'étais censée défendre mon territoire ! Ils allaient me le payer !
Alors que je ne m’y attendais pas, la femelle s’adressa à l’apprenti d’un ton autoritaire.
    « Lâche, Nuage Cumulus. Laisse-moi m’en occuper.
    - Mais, Œil d’Opium… »
La chatte fusilla de regard si particulier le jeune chat qui, finalement obéissant, s’éloigna de quelques pas et retourna derrière la frontière. Avec un grognement, je fis remarquer à la guerrière, d'un ton plus que menaçant :
    « Tu es sur mon territoire. Va-t’en, avant que je te tue.
    - Et toi, tu as attaqué et blessé mon apprenti.
    - J’étais dans mon droit, il a franchit la frontière, et toi aussi. Dégage d’ici ! »
Je montrai les crocs et crachai. Mais la chatte noire ne bougea pas. Alors, la toisant, je décidai de prendre mon pied. Je bandai mes muscles et m’élançai contre elle, de pleine face. Surprise, elle tenta de m’envoyer un coup de griffe mais battit l’air de ses pattes, déséquilibrée par ma force. Se retrouvant clouée sur le sol, dos contre terre, elle gémit tandis que je griffai son ventre de mes pattes arrière. Un grondement rauque sortit de sa gueule entrouverte. Alors que je m’apprêtai à mordre dans son coup déployé, elle m’envoya rouler au sol violemment, dans un dernier effort pour sauver sa peau. Sans plus hésiter, elle se releva promptement et déguerpi avec son apprenti.
Dans ma roulade, ma tête se heurta contre une grosse pierre dure. Le choc fut violent mais je ne perdis pas connaissance.
J’allais surement avoir une bosse. Même si j’avais mal partout, que mon dos me brulait, et que ma patte arrière droite suintait, je me sentais forte et fière. J’avais chassé des intrus, même si j’aurais préféré les tuer. Mais, la chatte était tout de même un adversaire de taille.

Me remettant dans une position convenable, debout sur mes pattes, je me demandais ce que j’allais faire maintenant. Je donnais un coup de langue à mes blessures. Ma patte endolorie me faisait un mal de chien ! Mais cela passerai, avec le temps. J’étais bien bâtie, j’allais tenir le coup tout de même !
A ce moment là, mes yeux avaient la couleur du sang. Je me remis alors en route pour retourner au camp, et chasser un peu du coté du chêne.

Je trottinai gaiement, boitant à peine, lorsque je perdis connaissance, aussi soudainement que je m’étais réveillée ce matin même.

[J'écris pas autant d'habitude, t'inquiètes pas..! J'étais juste particulièrement inspirée ^^ J'espère que tu n'es pas trop découragée ! xD Par contre, aucune idée de titre.. Si t'en as une dis moi stp !]
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Illusion Mortelle

Adminette • the queen of the forum
Illusion Mortelle

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Localisation : Tu vois la sortie de droite ? Eh bah c'est pas là.
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MessageSujet: Re: Titre ;P   Titre ;P Icon_minitimeSam 2 Oct - 15:08

D’accord, c’était la nuit.
D’accord, il pleuvait.
Mais pourquoi cela serait étonnant que je sois sortie ? J’avais quitté le Clan peu de temps avant le crépuscule, et je n’avais même pas remarqué de nuages. Il faisait encore beau soleil, et ce n’était que vers le milieu de la nuit que le temps s’était gâté. J’étais près d’une de nos forêt, et je m’y étais abritée. Proche de la frontière du Clan du Vent, il y avait souvent des lapins en fuite qui se cachaient ici. Les guerriers ne pensaient pas souvent à venir par ici car c’était certainement la terre la plus éloignée de notre Clan, mais moi, j’aimais.
Le sol était protégé d’une épaisse toiture faîte de feuillages provenant des conifères et des feuillus. L’hiver elle était souvent dégarnie, mais comme nous étions en début d’automne, il n’y avait pas de problème. Rares étaient les gouttes d’eau qui passaient au travers de cette protection, et si elles y arrivaient, elles venaient souvent se perdre dans mon long pelage immaculé.

Que faisais-je là ?
Je ne savais pas. J’avais juste eu besoin de me dégourdir un peu les pattes, et j’aimais vraiment beaucoup le mauvais temps. Je préférais passer la nuit, recroquevillée contre les racines d’un arbre, bercée par le bal des éclairs fulgurants que dans ma tanière où le bruit assourdissant du tonnerre était amoindri.

La truffe en l’air, la queue en point d’interrogation, j’avançais lentement entre les buissons, l’humus humide collant souvent sous mes coussinets. Je n’aimais pas quand les brindilles restaient contre ma délicate peau de patte, mais bon, je faisais avec ! J’étais une petite nature, parfois.
Le temps commençait à se calmer. L’orage se faisait moins fort, et les à-coups se firent de moins en moins présents. Je grognai entre mes moustaches. J’aimais tellement lorsque le temps faisait des siennes ! C’était à ce moment là que j’admettais que nous, frêles être-vivants, ne pouvions pas rivaliser avec les Dieux. J’aimais terriblement me faire balloter entre les différents vents, froids ou chauds. Je respirai à plein poumon, et me dit qu’en plus du mauvais temps, j’adorais l’aube d’une nuit pluvieuse. L’odeur qui se dégageait de la plaine des ombres était si délicieuses ! Je sentais le froid vibrer dans mes poumons, et j’adorais écouter le goutte-à-goutte lorsque les plantes ruisselaient de rosée et de pluie. Tout semblait silencieux, et la voûte céleste était souvent grise. Cela mettait certains de mauvaise humeur, mais sur moi, cela provoquait tout l’inverse.
Je n’aimais pas vraiment le soleil et j’étais relativement de bonne humeur, pour une fois, eussé-je envie de penser.

Je soupirai un moment, lorsque je remarquai que le jour se levait lentement. On ne le voyait que très peu, le soleil remarquablement bien masqué par les nuages de diverses couleurs. Mes articulations légèrement ankylosées par cette nuit passée sans repos, fraîche et humide, je décidai de retourner sur mes pas pour rentrer au Camp. J’arrachai quelques plantes dont j’avais un stock encore plus que remplis, mais bon, il fallait bien que je montre au Clan que je ne chômais pas… ce qui était totalement faux, surtout en été. La gueule remplit de quelques plantes, je repris ma marche vers mon chez moi.
Etoile d’Innocence, ma sœur, allait certainement encore s’énerver contre moi. Elle n’aimait pas quand je passais la nuit loin du campement. Effectivement, nous étions liées par un étrange lien, et elle savait à peu près… quand j’étais là et quand je ne l’étais pas. Il m’arrivait souvent de penser aux mêmes choses que ma sœur, et ce, en même temps. C’était un lien qui consolidait remarquablement notre complicité. Il arrivait cependant que je ne sache pas du tout ce que faisait ma sœur, et où. C’était assez dérangeant, déroutant même, de n’avoir pas forcément une intimité recherchée, mais cela m’avait sauvé une fois la vie, ce jour là, lorsque j’étais avec Souffrance d’Onyx et cet horrible blaireau de malheur qui avait essayé de…
    « - Oh mon dieu ! »

D’accord, ce n’était pas la phrase du siècle. Mais bon, je n’avais trouvé que ça pour exprimer mon étonnement et ma surprise. Car je me parlais souvent toute seule, comme si j’avais deux personnes dans mon corps. Cela étonnait aussi souvent mes patients qui me prenaient un peu pour une folle, parfois.
Revenons en à la raison de ma surprise. Je rentrais docilement en pensant à tout pleins de choses, lorsque je remarquai que nous n’étions plus dans la forêt qui bordait la frontière du Clan du Vent. Et dans la plaine que j’étais entrain de traverser, il y avait une forme.
Une forme féline.
Elle respirait, je voyais ses cotes se soulever difficilement. Je m’approchai en courant, déposant – ou plutôt, lâchant – les herbes que j’avais dans la gueule près de… la patiente. Son odeur était la mienne, et je la reconnus. C’était une guerrière du Clan de l’Ombre, de mon clan, et qui avait besoin de soins.
Son dos était lacéré de longues griffures sanguinolentes, et sa patte formait un angle étrange. Elle était maculée de sang, et je pu y apercevoir des traces de morsures. Le haut de son crâne était légèrement ouvert, mais rien de trop grave, à vu de nez. Je n’avais rien sur moi, et je n’avais pas assez de force pour la ramener rapidement au Clan. Elle était inconsciente, ce qui était certainement pire.
    « - Je suis une guérisseuse, bon sang de bois ! »

Oui, je m’engueulais souvent lorsque mon temps de réaction était trop long. Je couru aussi vite que je le pu vers la forêt, et me mis à chercher aussi rapidement que possible ce dont j’avais besoin. Je dénichai rapidement une toile d’araignée, du cerfeuil et un ridicule plant de millefeuille. Je serrai les dents, n’arrivant à trouver rien d’autres qui pourrait m’être utile dans le cas présent. Bien entendu, j’aurais pu prendre de l’herbe pour calmer la faim ou encore des Racines de Glouteron, mais supprimer la faim et calmer les intoxications n’étaient pas ce que je souhaitais faire, pour le moment.
Je revins donc sur mes pas, le cœur battant aussi vite que je courrais. Je dérapai dans l’herbe humide et de la boue macula mon pelage aussi blanc que lors des premières neiges. Mais qu’est-ce que cela pouvait me passer par dessus la tête, ma propreté, pour le moment !

Je mâchai lentement le cerfeuil, en extrayant la pulpe : c’était ce qu’il me fallait. Je la déposai doucement sur les plaies visibles : sur sa patte et sur le haut de son dos. Elle était couchée sur un flanc, mais heureusement, j’arrivais à discerner la majeure partie de la blessure. J’avais pris soin d’aplatir l’herbe haute qui enveloppait le corps inanimé de la guerrière, pour ne pas que les soins s’attachent aux brins.
Je déposai ensuite le millefeuille, qui se colla automatiquement à la sève visqueuse. J’enveloppais ensuite le tout dans le peu de toile d’araignées que j’avais. La patte et le dos traités, je pouvais regarder enfin sa tête. J’allais poser mes coussinets – au préalable lavés dans une flaque d’eau croisée en chemin – sur le haut de son crâne, lorsque les yeux de la victime s’ouvrirent.

[ moi c'est plus court ^^' xD pas grave, j'ai pas trop pris peur, m'enfin bon, tu écris trop bien *_* ]
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